Aprem ciné, Avatar. En 3D bien sûr. Salle pleine, on se pose.
Pub pour s'engager dans l'armée américaine, plus bourrine que la française, mais moins pipo. Genre l'armée américaine c'est pas pour rencontrer des jolies filles avec qui tu peux sortir le soir pendant les perms, comme voudrait nous le faire croire la pub française. L'armée américaine, c'est pour sauver des mères de familles et des enfants, couper des arbres avec une tronçonneuse, récupérer le vieil album de famille dans la maison effondrée (ça, c'est un peu pipo quand même...) et le rendre aux enfants, etc.
Le film commence; des retardataires nous demandent si on peut pas se décaler pour leur faire de la place, mais le mari du couple à ma droite refuse : le film a déjà commencé, non de Dieu. Sa femme me répond gentiment, en français, avec le joli accent anglais que désolé, il ne veut pas.
Ce qui fait marrer la femme à ma droite, c'est quand le méchant sergent du film qui veut faire du mal à la Nature dit qu'avec lui, la Nature va en baver. Comme quoi le sergent n'est peut-être pas comme l'américain lambda, peut-être il est un peu caricatural...
Après le happy end tant attendu, des gens applaudissent à différents endroits de la salle et à différents moments. Peut-être des gens qui se réveillent après le film? Puis tout le monde se lève et s'en va, sans attendre la fin du générique (ni même le début du générique d'ailleurs).
Je suis le seul à ramener mon petit pot de pop-corn vide pour le jeter à la poubelle. Les autres pots de pop-corn gisent parmi plus ou moins de pop-corn et de boîtes de fast food, par terre.
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